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DSVII est, à mon avis, bien plus avancé que Digital Shades Vol. 1. Le premier volume était moins ambitieux et n’a pas demandé autant d’énergie et de travail que le second. Je n'avais que 26 ans à l’époque du premier, et j’avais des objectifs et des goûts musicaux différents. Avec DSVII, j’ai voulu revenir avec quelque chose de plus fort, qui mettrait en valeur la profondeur d’un album studio, sans la pression qui accompagne la production de musique pop-loin de Hurry Up, We’re Dreaming et Junk.”